Dans les pièces à vivre, la température de confort est de 19°C. Ceux qui se sentent mieux à 20 °C doivent savoir que ce degré supplémentaire équivaut à 7 % de surconsommation en énergie ! Pour les chambres, durant la phase de sommeil, 16 °C sont suffisants. Mieux vaut investir dans une bonne couette que de chauffer l’air. Pour les chambres d’enfants, dans la mesure où cet espace devient privilégié et donc occupé dès le retour de l’école, la température de confort est de rigueur en journée.
En cas d’inoccupation d’un logement ou d’une pièce, pensez à réduire la température ambiante de 4°C. En cas d’absence de plusieurs jours, n’hésitez pas à régler le thermostat sur la position hors gel. A votre retour, il faudra quelques heures avant de retrouver la température de confort, sauf si vous êtes équipé d’un programmateur qui permet de l’anticiper.
S’il n’y ni thermostat d’ambiance ni robinets thermostatiques sur vos radiateurs, penser à vous équiper. Si les notions de régulation, de programmation et de gestion d’énergie vous sont étrangères, rendez vous sur d’autres pages de Rue de l’énergie. Il existe de nombreuses solutions pour adapter la température de consigne en fonction des périodes de la journée et de l’année.
Profiter au maximum des apports solaires mais fermer les volets et les doubles rideaux dès la tombée de la nuit. C’est un geste simple et source de grandes économies : 25 % de la chaleur d’un logement est perdue via les parois vitrées. L’isolation d’un logement doit être envisagée de façon globale. Elle doit prend en compte de nombreux critères.
Si vous désirez aérer une pièce, 5 mn suffisent en hiver. Pensez à arrêter le chauffage durant ce laps de temps. De façon générale, il faut assurer une bonne circulation de l’air autour de votre appareil de chauffage ou du diffuseur de chaleur, et donc ne jamais les couvrir. Ne pas boucher les grilles de ventilation du logement, en particulier en cas de présence d’une chaudière au gaz.
Faîtes pratiquer un entretien régulier de votre système de chauffage par un professionnel, au moins une fois par an. Cela permet de réaliser une économie de l’ordre de 8 à 12 %. Le coût d’un contrat d’entretien annuel est toujours amorti par les économies d’énergie réalisées.
Types de chaudières
Chaudières bois
Emetteurs de chaleur
Solaire photothermique
Pompes à chaleur
Coin feu